Synopsis :
Akim, jeune musulman appelé à devenir imam voit son identité bouleversé alors qu'il est touché par l'amour du Christ... Dans un chaos familial qui l'oppose à son frère, Akim tentera de se faire accepter par les siens.
Mon avis :
Un film juste. Nous ne tombons pas dans un film caricatural ou cherchant la polémique. Le respect est de mise.
Akim, jeune homme qui avait un destin tout tracé devenir imam voit son destin changer de voie. pas d'une façon grandiose mais en douceur, l'Amour de Jésus- Christ. Tout se fait graduellement. Il va du coup se retrouver dans une posture familiale compliqué et conflictuel. L’ouverture de certains va à l’encontre de la fermeture d'autres. Tel un dialogue puissant. Rien est figé, tout bouge, tout évolue.
L'évolution de la pensée d'Akim, son apaisement fait voyager le spectateur. Comment une simple invitation à un baptême chrétien et l'amitié peut faire naître une conversion vraie et puissante.
Un de mes meilleurs films, les émotions sont mises à rudes épreuves. La joie, le bonheur, la craintes, les larmes vont s'exprimer du début à la fin. Le sujet est tabou aujourd'hui, il doit rester cacher, nous le voyons très bien avec cet homme dont le frère d'Akim refuse de serrer la main à cause de sa conversion au christianisme.
Cheyenne Caron est au sommet de son art. Un film de tolérance, Cheyenne laisse un message de tolérance et ce du début à la fin. Nous ne visualisons pas une famille musulmane intégriste mais une famille normale.
Un film que j'aime pour son univers, son message, son évolution et son message de paix. Un film qui m'aide à revoir ma relation à Jésus-Christ d'un angle nouveau comme Akim a pu le vivre en tant que nouveau converti. Un film puissant et évangélisateur.
Résumé : "Le défi urgent de sauvegarder notre maison commune inclut la préoccupation d'unir force toute la famille humaine dans la recherche d'un développement durable et intégral, car nous savons que les choses peuvent changer." Pape François L'urgence écologique vous préoccupe et vous ne savez pas par quel bout prendre ce problème ?
De la cuisine à la salle de bain, en passant par la chambre à coucher et le jardin, ce livre nous invite à convertir notre cœur et nos comportements dans toute notre maison, à partir de la vision chrétienne de l'écologie. Entrer dans une consommation responsable, préférer le réel au virtuel, savourer les vraies rencontres... Chaque pièce est prétexte à transformer notre art de vire, à travers des réflexions, des témoignages et des idées concrètes. Pour faire de notre logement un lieu où "tout est lié" : notre foi, nos relations et nos actes.
Adeline et Alexis Voizard, parents de quatre enfants, ont vécu une conversion écologique à la lecture de Laudato si' (encyclique du Pape François sur l'écologie). Ils ont décidés de mettre en oeuvre l'écologie intégrale dans leur vie de famille ordinaire.
Mon avis :
N'ayant jamais réussi à passer le premier chapitre de Laudato Si', encyclique du pape François ayant fait beaucoup de bruit dans le monde, j'ai décidé de lire ce livre comme un résumé. Peut-être que ce sera une invitation à lire entière l'encyclique !
Ici ce n'est pas un énième livre sur l'écologie où l'on vous dresse une liste interminable de choses à faire, de choses à changer. Ce n'est pas Béa Johnson. Je vous rassure y a quand même des conseils écolo : faire sa lessive soi-même, prendre les transports en commun, économisé l'eau, préférer les commerces de proximité ect.). Dans ce livre court, on nous propose une écologie intégrale.
Intégrale oui, tout est lié dans notre monde, les hommes, la nature, les animaux, nos relations. Pièces par pièces, les auteurs proposent une réconciliation avec la nature, avec le prochain. Mais cela va -au-delà : beaucoup de thème, presque inimaginable dans un livre sur l'écologie : l'acceptation de soi, la sexualité, l'argent. Un guide de vie pour tous les jours. Un guide pour tous mais aussi pour les croyants : nous parlons de prière et de la relation entre le croyant et Dieu.
Un livre tellement complet, simple. J'ai énormément apprécié les fins de chapitres où il y a un paragraphe "à retenir", " Par où commencer", "pour aller plus loin". C'est complet dans le sens aussi que ça englobe vraiment mais vraiment beaucoup de choses de la vie courante, jusqu'à considérer son voisin, provoquer la rencontre de l'autre. J'ai apprécié les petits témoignages de personnes qui vivent déjà l'écologie intégral : mère ou père de famille, personnes célibataires... ça rend le livre un peu plus interactif.
Chacun y trouveras son compte, pour ma part ce livre est plutôt orienté familial, étant célibataire je m'y suis retrouver mais dans l'ensemble y a des choses que je pourrais pas réaliser. Idéal pour les personnes qui sont à la recherche d'un guide de vie ou simplement qui veulent aller plus loin que le simple fait de faire que des gestes écologique.
Résumé :
Un soir de pluie à Bristol, un petit garçon est renversé par un chauffard qui prend la fuite. L'enquête démarre, mais atteint rapidement son point mort. Le capitaine Ray Stevens et son équipe n'ont aucune piste. Rien. Après cette nuit tragique, Jenna à tout quitté et trouvé refuge au pays de Galles, dans un cottage battu par les vents. Mais plus d'un an après les faits, Kate, une inspectrice de la criminelle, rouvre le dossier du délit de fuite. Et si l'instant qui a détruit tant de vies n'était pas le fait du hasard ?
Le premier livre de Clare Mackintosh a connu un immense succès international et obtenu le prix Polar 2016 du roman international au festival de Cognac.
"Te laisser partir possède le force des livres qui font virer la couleur de l'atmosphère en une page. Oppressant, voire carrément suffocant" Catherine Balle, Le Parisien.
"Difficile de le quitter une fois ouvert" Françoise Dargent, Le Figaro littéraire. Mon commentaire :
Surement un de mes coups de cœur de l'année 2020. L'ayant laisser tomber il y a quelques mois sans raison valable. Repris en ce début d'année. Et ce n'est pas à regret tellement je me suis régalé de cette lecture !
Dés le prologue, dés la première page nous sommes happés par l'histoire. Qui est insensible lorsqu'un enfant meurt écrasé par une voiture ? Une bonne immersion dans le milieu policier, nous suivons les enquêteurs comme si on faisait partie du livre. Nous sommes entièrement intégré à l'atmosphère de l’enquête avec ses hauts et ses bas. Avec les avantages d'un policier et les inconvénients, sans compter les pressions des supérieurs et les enjeux médiatiques des grandes enquêtes. D’ailleurs je salue l'auteure du thriller de m'avoir fait partager le quotidien de Ray Stevens notamment sa vie de famille qui rehausse le récit. Un thriller qui se mélange à un roman : j'adore !
De même pour Jenna, au début j'ai énormément de mal avec la construction de ce récit : la femme qui part de chez elle et va à l'aveugle dans la campagne anglaise... un peu naïf peut-être mais au final j'ai énormément apprécié la façon dont elle reprend ses repères, elle surmonte ses ennuis passés. Même si sans trop en dire c'est de courte durée (c'est avant tout un thriller et non un roman du terroir).
Le livre contient deux parties. Je n'ai trouvé aucune longueur dans les deux segments. Mais arrivé à la deuxième partie il y a comme une montée d'adrénaline, une secousse qui m'a littéralement laissé sous emprise totale pour ne plus relâcher le roman et le finir d'une vitesse vertigineuse !
Comme plusieurs lecteurs je me suis malheureusement perdu dans le récit : j'ai tout compris néanmoins j'ai mélanger une chose. je n'en dis pas plus, c'était peut-être une volonté de la l'auteure. Quoiqu’il en soit ça n'a pas du tout gâcher ma lecture : les vérités se sont remis en place d'eux-même.
Niveau de l'intrigue je dois dire que la première partie est quand même plate, il n'y a pas beaucoup de rebondissements ou à la limite presque pas. La deuxième partie prend la revanche !
L'auteure, sans trop en dévoiler, nous offre un méli mélo de choses : plusieurs narrations. plusieurs histoire qui se rejoignent. L'intrigue en elle-même sera la découverte des choses cachés. Un thriller devenu en deuxième partie très psychologique. Arrivé à la fin : j'ai été complètement abasourdi du dénouement du thriller. Faut qu'il nous offre pas mal d'inquiétude, de moments d'anxiété. Je pense avoir été clair : je ne peut pas dévoiler beaucoup de choses sur l'intrigue, je n'ai pas envie de gâcher votre plaisir, votre suspense. Même si j'aurai imaginé une fin plus brouillie (vu mon erreur d'avoir mélanger certaines choses au début).
A lire de toute urgence ! Livre de Poche
512 pages
22 mars 2017
9782253086727
Au milieu des paysage chers à Cézanne, sœur Bénédicte va faire ses vœux perpétuels. Elle s'apprête à vivre cloîtrée dans une abbaye bénédictine surplombant la vallée de la Durance, à Jouques. Avec d'autres sœurs, elle consacrera ses journées au travail et à la prière. Cécile Besnault et Ivan Marchika nous invitent à une expérience inédite, sans jugement ni parti pris.
Un film de Cécile Besnault et Ivan Marchika Diffuseur : Saje éditions Durée du film : 2h00 Date de sortie : 18 mars 2019
"L'oeuvre est d'une beauté délicate" Panorama
"Une rare plongée dans la vie monastique" La Croix
"Ce film est un cadeau" L'1visible
Mon avis :
Etant un fan des films de ce genre, étant un amoureux de la vie monastique, ce film devait être absolument vu tôt ou tard. Ayant choisis un moment de ma vie calme (les vacances) pour visionner ce film. Un film de ce genre est pour moi une pause, une immersion totale. Dans le passé j'ai eu l'occasion de voir "Le grande silence" (film sur les chartreux, communauté beaucoup plus fermée que les bénédictins) et "Silentium" (film sur une communauté de sœurs bénédictines dans les alpes allemandes).
Pour "Leur souffle" je dois avouer que les résultat est assez mitigé. j'ai aimé certaines choses, d'autres moins. l'idée de suivre une sœur qui entre au couvent est une bonne idée en soi. c'est d'ailleurs ce que le synopsis fait comprendre. Au final je n'ai pas trouvé l’intérêt de faire ceci, il n'y a aucun dialogue avec elle. Aucun dialogue avec aucune sœurs. je connais la vie monastique : une vie de silence mais quelques questions à au moins une sœur m'aurai plu. Nous suivons simplement une vie de sœur : travail, prière, repas et une récréation joyeuses : c'est aussi ça la vie monastique !
Tout dans ce film est imprégné de Dieu, un passage m'a marqué : quand la religieuse prie avant de commencer à écrire son icône. Le silence est omniprésent. j'ai beaucoup aimé les passages de silence, ce fût pour moi des moments de grâces, d’imprégnation de la profondeur de la vie monacale. Les silence aussi quand les sœurs sont dans la chapelle et que nous voyons ce lieu désert. Dommage que les sœurs chantent en latin, la prière des psaumes auraient étaient un moment plus profond pour moi.
Surement pas le meilleur film sur le sujet mais nous avons le privilège de pouvoir entré en communion avec cette communauté. J'ai était saisi également par le côté émotionnel, ce n'est pas si froid. les sœurs arrivent à transmettre des émotions : de joie, de sérénité et parfois de tristesse.
Peut-être qu'une entrevue en bonus aurai quand même suffit à éponger notre soif.
Bon film !
Dans le même style :
Silentium (Allemagne)
Quatre religieuse, vingt-six moutons et un prêtre. Loin de la civilisation moderne, au bord du Jura Souabe , les règles de Saint-Benoit sont strictement respectées depuis des siècles par les sœurs de Notre-Dame. Leur vie est guidée par la prière et le travail. Mais la spiritualité du couvent doivent se confronter à la vie moderne et à la laïcité.
Un film fort, moins de religieuses que "Leur souffle" mais j'ai été pris dans la grâce de ce film. Quelques confidences des sœurs. Une réussite poignante, une immersion totale.
Et s'il existait une alternative à la tyrannie du paraitre ? À une vie de zapping épuisante ? Aux relations affectives multipliées mais appauvries ? Aux parcours scolaires uniformisés qui tentent d'imposer des chemins tout tracés ? À une société matérialiste dont la jeunesse est assoiffée de spiritualité ? Joseph Gotte, étudiant et blogueur, en est convaincu. Au beau milieu de la complexité de XXIe siècle, il appelle sa génération à oser nager à contre-courant pour retrouver une existence qui a du sens.
Au travers de son parcours personnel, l'auteur aborde les nombreux enjeux auxquels la jeunesse est confrontée. Avec authenticité, il n'hésite pas à partager également les zones d'ombre de son vécu : le climat difficile de ses années collège ou encore sa lutte contre son addiction à la pornographie. Chaque chapitre, étayé par ses réussites, ses questionnements et ses combats, invite avec audace le lecteur à se réapproprier sa propre vie pour l'offrir en retour.
Passionné par son temps, mais encore plus par le Christ, Joseph Gotte nous livre ici un témoignage puissant et structurant destiné à tous les jeunes en quête d'encouragements, de repères et de modèles.
Joseph Gotte est un jeune communiquant chrétien âgé de 22 ans. Très actif sur les réseaux sociaux, il a créé en 2016 le blog Vivre sa jeunesse autrement
Mon commentaire :
Jospeh Gotte m’a offert pendant la lecture de son premier livre un moment de vérité, un moment d’intimité. Tout semble sincère, tout concorde de ce j’ai vu sur son compte twitter. Un jeune homme qui s’assume, une vérité pour les jeunes. Il n’hésite pas à écrire avec franchise notamment avec son addiction à la pornographie. Il en faut du courage pour parler de ça alors que beaucoup souffre de ce fléau contemporain.
20 défis, 20 chapitres et énormément de questions à se poser à l’aide de quelques questionnement en fin de chapitres et énormément de conseils. 20 thèmes différents, pas de thèmes vieillots mais d’actualité dans ce monde qui va vite.
Personnellement ce livre m’a remis en questions, m’a aussi fait découvrir des choses sur ma vie : le harcèlement scolaire dont je me rend compte qu’il existait déjà dans les années 2001-2008 (mes années scolaires). Ce livre est une invitation à se développer, à bouger, à être soi. Pas comme un énième livre de développement personnel mais un parcours encore plus profond.
Joseph Gotte, jeune ordinaire mais qui a une perception des choses que j’aime beaucoup, j’ai énormément apprécié le chapitre « Face aux différences, bâtir des ponts » , sur les différences entre chrétiens. Une vision de miséricorde, pas de condamnation, Joseph est au-dessus de tout ça. Une invitation à regarder le principal : Jésus-Christ. Pour donner un exemple Joseph cite à la page 158 Billy Graham (proche du pape Jean-Paul II) : « Etudiez les confessions de foi des différentes dénominations (= N.D.A. : chrétiennes) et vous verrez que, fondamentalement et historiquement, elles sont presque toutes identiques. Elles peuvent différer de beaucoup dans les rites, elles peuvent donner l’impression de monter en épingle des particularités théologiques, mais à la base, elles reconnaissent toutes que Jésus-Christ est Dieu incarné, qu’il mourut sur la croix, qu’il ressuscité afin que l’Homme puisse obtenir le salut – et c’est bien là le fait le plus important pour toute l’humanité. » du livre La paix avec Dieu (1952), chapitre 15 : « Le chrétien et l’Eglise ».
Un livre fort pour discerner ce que l’on veut dans la vie, essayer d’avoir une base de vie solide, approfondir notre relation à Dieu et aux autres. Je le conseille particulièrement aux jeunes. J’ai 29 ans, j’aurai préféré le lire à 15 ans. C’est vraiment complet : consumérisme, paraître, discernement vocationnel, scolaire et professionnel… engagement dans la société, dans la politique.
Merci Joseph pour ce lire, que je prendrais le temps de rouvrir de temps en temps, chapitres par chapitres. En effet, ce n’est pas un livre à lire comme roman mais à lire tranquillement en réfléchissant tranquillement aux questions. Merci de m’avoir fait découvrir les beaux textes de Nekfeu, des guetteurs et de tant d’autres personnes.
L’année 2019 est passée, 2020 est devant nous. 2020 n’est pas dans le futur, c’est aujourd’hui, maintenant. N’attendons pas demain pour être heureux. L’année dernière fût peut-être une année heureuse ou malheureuse. Quoiqu’il en soit gardons l’optimisme pour cette nouvelle année, restons confiants, de nouvelles horizons vont forcément surgires.
Barbara, interprète de L’aigle noir, à dit : « Il ne faut pas continuer sa vie, il faut chaque fois la recommencer ». Que chaque matin soit un nouveau soleil, que chaque matin soit un recommencement. Une de mes phrases préférées de la Bible se trouve dans les lamentations de Jérémie (3,23) « Les compassions de l’Eternel se renouvellent chaque matin ». Avoir un regard neuf. Vivre dans le présent, demain sera demain.
Nous sommes souvent déçus, déçus des autres. N’attendre que très peu des autres mais savoir s’entourer de personnes positives, qui vous tirent vers, qui sont positifs. Vivre dans le pessimismes, dans la dépression est pour un début de mort. Nous avons la chance de vivre et je le souhaite d’être en bonne santé, sachons profiter de la vie. Essayons à notre tour de ne pas décevoir ceux qui sont proches, sachons pardonner les futilités.
Prenons soin de nous et soin des autres, l’un ne va pas sans l’autre. N’oublions pas que dans la première lettre de Pierre au chapitre 5 verset 7 il est dit que Dieu prend soin de nous. Saviez vous que dans la Bible il est écrit 365 fois « N’ayez pas peur » ? Une fois par jour. Et si en 2020 nous écoutons cette directive juste avant de se lever ?
Revenons en cette nouvelle année à l’essentiel, de quoi avons nous vraiment besoin ? que ce soit matériellement ou dans notre gestion du temps. Nous nous perdons beaucoup trop souvent dans des choses inutiles. Dans sa chanson « Temps pour nous » Axelle Red dit : « Laissons Google et la vaisselle pour ce que c’est et si on monter fermé la porte à clé », elle nous parle de notre manque de temps dans le couple avec nos occupations quotidiennes. Prenons du temps pour son ou sa partenaire, pour un bon livre, une promenade, une sortie entre amis et coupons notre smartphone, Twitter ou Facebook attendrons !
D’ailleurs prenons conscience que les réseaux sociaux sont un outil génial, un outil de partage, d’entraide, de cultures en tout genre. N’en faisons pas un territoire du guerres civiles. Prenons conscience que ça nous représente même cacher sous un pseudo. Ce n’est pas facile, je suis témoin chaque jour des personnes malsaines, hypocrites, qui parlent sans fondements et immatures. Ne nous retournons pas sur eux. Un conseil tout simple : bloquer la personne et éviter de lire commentaires notamment sur les posts de médias, on y trouve malheureusement trop de haine.
Que 2020 soit une rencontre, un approfondissement dans la foi. Même un relèvement. Des fois je me sens décourager quand je vois le nombre de péchés que je commet. Dans la lettre apostolique « Christus Vivit » du pape François au chapitre 4, paragraphe 119 (ou 120 selon les éditions) il nous dit : « nous somme sauvés par Jésus : parce qu’il nous aime et ne peut pas s’en passer. Nous pouvons lui faire n’importe quoi, lui nous aime et nous sauve. Parce que seul celui qu’on aime peut être sauvé. Seul celui qu’on embrasse peut être transformé. L’amour du Seigneur est plus grand que toutes nos contradictions, nos fragilités et que touts nos petitesses. Mais c’est précisément à travers nos contradictions, nos fragilités et nos petitesses qu’il veut écrire cette histoire d’amour. Il a embrassé le fils prodigue, il a embrassé Pierre après son reniement, et il nous embrasse toujours après nos chutes, en nous aidant à nous relever et nous remettre sur pied. Parce que la véritable chute – la vrai chute, celle qui est capable de ruiner notre vie, c’est de rester à terre et ne pas se laisser aide. »
Que cette année 2020 soit une année riche en joie, en abondance de bonnes choses. Une année de rencontres entre nous. Prenons nous erreurs de 2019 et tachons de ne pas recommencer pour arrivé en décembre 2020 et être fier de soi.